La vallée de la Gartempe
du 4 au 9 avril 2015.
4 équipages et 8 participants à cette sortie. Arrivée au camping de St Pierre de Maillé le samedi 5 avril où nous sommes les premiers et seuls résidents, le camping ouvrant ce jour.
St Pierre de Maillé est un joli village bordé de falaises calcaires et traversé par la Gartempe. Des maisons troglodytes enchâssées dans la roche sont en cours de réhabilitation par la commune.
Dimanche, après le passage des cloches et des œufs de Pâques, balade à la brocante d’Angles sur l’Anglin, manifestation si importante que nous n’avons pas réussi à la voir entièrement. Mais le village vaut le détour ! Ruines d’un imposant château, ruelles pavées piétonnières, mai-sons remarquables, vues sur l’Anglin à couper le souffle …
Angles est l’un des « plus beaux villages de France » et est célèbre pour son linge fin et ajouré : les jours d’Angles, une lingerie datant de Napoléon III que nous avons pu admirer.
Après un déjeuner de Pâques copieux à l’auberge du village, nous allons visiter le « Roc-Aux-Sorciers ». Trésor de l’art préhistorique, une frise de 20 mètres de long, taillée dans la roche, datée de 15 000 ans nous permet d’admirer des sculptures de femmes et d’animaux en relief. Ce parcours commenté est reconnu comme étant le « Lascaux de la sculpture ! »
Nous ne pouvions pas aller dans cette région sans y admirer cet ensemble culturel inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco qu’est l’abbatiale de St Savin-sur-Gartempe. Elle abrite de magnifiques peintures murales romanes. Ces fresques, remises au jour par Mérimée en 1836 et restaurées depuis peu, couvrent une surface de plus de 400 m2 et racontent l’histoire de la bible.
Etant aux portes de la Brenne, nous avons programmé une petite virée au milieu de cette mosaïque d’étangs, (plus de 2000), de landes, de buttons, classés « parc naturel régional » et « parc écologique européen Natura 2000. » C’est un site de présence des grands animaux : chevreuils, cerfs, sangliers. Une flore variée s’y développe : orchidées, roseaux, bruyères, ajoncs, au sein de laquelle se reproduisent de nombreux oiseaux migrateurs, passereaux, canards, échassiers. La cistude (petite tortue aquatique), ainsi que d’innombrables insectes dont des libellules magnifiques peuvent y être observés. Mercredi 8, nous changeons de résidence, certains nous quittent tandis que nous nous dirigeons sur Lathus-St Rémy aux confins de la Vienne et de la Haute-Vienne.
Bien installés sur une aire de camping-cars, en bordure du bourg nous allons au « Roc d’Enfer », sur la Gartempe, là où la rivière est tumultueuse et où l’on pratique le canoë sportif de compétition. Bonne promenade et belle nature sauvage.
Jeudi matin, direction « le Saut de la Brame », affluent de la Gartempe, au cours rapide et bouillonnant. Le sentier piétonnier et sauvage le long de la rivière fut fort apprécié !
C’est la fin de notre petit séjour en Vienne profonde. Nous ne pouvons que regretter l’exode de cette région et l’abandon de ses activités ancestrales.
L’après-midi, retour vers les Deux-Sèvres pour préparer une nouvelle sortie.
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L’aillet en Corrèze
du 29 avril au 5 mai 2015
Mercredi 29 avril, 9 équipages se sont donnés rendez-vous à Meyssac/Collonges-la-Rouge, au camping « Le Moulin de Valane » en Corrèze. Terrain bien situé, confortable, disposant en plus d’une belle salle commune bien équipée. Dommage qu’après les orages violents de ces derniers jours, les parcelles soient très humides.
Jeudi matin, visite à pied de Collonges à 10 minutes du camping. Beau village médiéval bâti en pierres rouges, très typique. Déjà nombre de touristes visitent la région. L’après-midi, même chose à Meyssac, un village différent mais aussi beau, avec son centre historique et son maître verrier.
Vendredi 1er mai, il pleut des cordes toute la journée. Qu’importe, nous sommes bien installés dans la salle pour préparer le fameux « aillet » que nous dégustons à midi tous ensemble. L’après-midi se poursuit avec des histoires plus ou moins paillardes, des chants et des jeux jusqu’à l’heure du dîner. Samedi le temps s’est arrangé, alors, les parties de boules peuvent recommencer
Au cours d’une randonnée certains ont fait une découverte surprenante. Dans un petit village nommé Le Saillant : ils sont entrés dans une petite chapelle au fond d’une ruelle qui possède de magnifiques vitraux signés « Chagall » ! Il faut souligner qu’ils sont uniques en France et qu’il n’en existe que 3 ou 4 au monde. Extraordinaire, non ?
Dimanche, direction Turenne, visite de son château vicomtal et du village classé.
Repas ensemble au resto avant d’aller admirer le « gouffre de la Fage» Grotte creusée par l’érosion et les infiltrations d’eau qui nous ont précédés pendant des millénaires, laissant apparaître de belles stalactites et stalagmites aux couleurs variées suivant les minéraux traversés. C’est aussi un endroit protégé pour la faune locale, en particulier, les chauves-souris, l’occasion, pour nous, de comprendre leur habitat, leur vie, leur évolution grâce à la projection d’un film, très intéressant. L’après-midi se termine par un apéritif dînatoire bien convivial.
Lundi, il fait plus chaud, nous allons à Beaulieu-sur-Dordogne, très beau village dans un magnifique cadre naturel avec sa rivière au bord de laquelle est amarrée une « gabare » Nous revenons en passant par Carennac (Lot), village aussi classé « plus beau village de France »
Mardi c’est déjà le retour. Nous sommes contents et satisfaits de notre petit périple et un si bon accueil ne peut que nous inciter à y revenir.
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8ème randonnée de printemps
en Champagne - Ardennes
du 1er au 22 juin 2015
C'est sous un grand soleil que nous partons à trois équipages pour le château de Guédelon, chantier médiéval commencé en 1997, avant de rejoindre Auxerre que nous visiterons sous la chaleur, chaleur qui ne nous quittera pas de tout notre voyage.
La ville est fort intéressante. Nous traversons Tonnerre et ses crus de Bourgogne, avant de rejoindre l'aire de repos de Toul. Visite de la ville sur le déclin car la crise a frappé là aussi. Puis c'est Nancy avec, pour commencer, visite de la ville, du marché couvert (bergamote & gandoyau) et le joyau, la place Stanislas avec ses splendides grilles de fer forgé qui sont redorées depuis deux ans seulement et son dallage entièrement refait lui aussi. Nous visitons la vieille ville en petit train. Nous y reviendrons de nuit pour voir la place sous son éclairage mais il était trop tôt dans la saison pour découvrir le son et lumière … dommage !
Vendredi, camping de la Plage à Metz à un quart d'heure à pied du centre ville et à l'ombre de grands platanes. Les façades de maisons en pierre de Jaumont (de couleur jaune) reflètent des couleurs dorées mais la chaleur s’y est accumulée dans la journée !
Le lendemain nous attendrons en vain le petit train pour la visite : la loco a eu trop chaud, le moteur a rendu l'âme ! C'est donc à pied que nous découvrirons la ville. Puis nous visiterons le fort de Hackenberg, « le monstre » de la ligne Maginot : 10 kilomètres de galeries, 19 blocs de combat, une tourelle de 163 tonnes qui n'a jamais tiré un projectile sur les envahisseurs mais sur les Américains lors de la Libération, lesquels y laisseront 2600 hommes avant que le Fort ne tombe ! Ce fort a été creusé surtout par des femmes, environ 1 800 qui ont déplacé 360 000 tonnes de gravats (faibles femmes?). Tout à l'intérieur est en état de fonctionner, la tourelle, le système de ventilation, les groupes électrogènes ainsi que le train électrique qui nous a transportés !
A Verdun, nous visitons le Centre mondial de la paix, la citadelle souterraine en voiture électrique avec guidage laser. On comprend aisément que la défaite était liée au manque de réalisme des officiers supérieurs. Nous irons aussi au Fort de Douaumont ainsi qu’à l'ossuaire où reposent 140 000 soldats de toutes nationalités, et aussi à Montfaucon, mémorial américain avec une tour de 58m de haut que seul Paul a eu le courage de gravir ! Puis, nous gagnons le Luxembourg.
Ici le fric est roi ! Toutes les grandes banques sont là et c'est à celle qui aura la plus haute et la plus belle façade ! Nous quittons Luxembourg-ville pour Echternach à la frontière allemande pour visiter l'Abbaye du 6ème siècle et remarquer de belles demeures en ville.
Passage en Belgique avec la découverte de l'Abbaye d'Orval dont les origines remontent au 6ème siècle.
Nous n’accéderons qu’aux parties les plus anciennes en ruine car le reste abrite les moines prieurs et les installations de la brasserie. Apres deux heures de visite très intéressante, nous repartons pour Lobbes, pour passer la nuit chez l’habitant. Nous sommes reçus comme des rois par un copain de Maurice qui le lendemain, nous fait visiter la région : le plan incliné de Ronquières qui est un funiculaire à bateaux. Pause dans un resto sarde tenu par son frère : pas de frites belges mais que la cuisine et le vin sardes sont bons ! Après deux nuits passées chez Antonio, nous partons pour Givet, Montherme et les boucles de la Meuse en passant par Fumay et Revin. Le lendemain, ce sont les boucles de la Semoise, puis c'est l'Abbaye Notre Dame de Clairefontaine. Bouillon nous accueille sous une ombre bien précieuse mais rare ! Jolie ville au bord de la Semoy avec des pédalos multicolores ce qui ajoute un charme particulier à la ville que domine le château de Godefroy de Bouillon.
Retour en France : Sedan et sa citadelle, la plus grande forteresse médiévale d'Europe. Une halte à Rethel, capitale du boudin blanc ! Et il est bien bon, notamment à l'apéro !
A Reims, impossible de se garer. Direction Epernay avec Sylvie qui nous a rejoints avec une amie. Le lendemain, c'est Murielle, une autre copine de Sylvie (elle en a beaucoup), qui nous fait visiter Reims : la basilique St Remi et la cathédrale : malgré toutes ses sculptures qui font d'elle une œuvre magnifique elle n'a pas l'âme de la basilique. Retour au camping, où, dans la nuit, Mado nous fait très peur : pompiers, ambulance, hôpital à Epernay puis Reims le lendemain. Heureusement tout ira mieux pour elle quelques semaines plus tard mais, pour l’heure, nous les laissons : Paul au camping et Mado à l’hôpital…
Nous poursuivons à Moussy chez M et Mme Crete (encore des amis de Sylvie) qui nous font découvrir le vignoble d'Epernay Puis visite des caves Mercier. Là, tout est démesuré : 18 kilomètres de galeries, des millions de bouteilles, un foudre de 20 000 litres en chêne pesant 20 tonnes à vide qui fut tiré par 48 bœufs et 6 chevaux pour l'expo de Paris en 1890 !
Nous quittons nos hôtes pour Troyes, Auxerre et St Florentin où nous passerons la nuit près du port de plaisance sous les flonflons d'un bal populaire. Puis, c'est Vézelay que nous visitons, perché sur sa colline, Clamecy et puis Bourges. Au camping Robinson, c'est la fête de la musique, beaucoup de monde en ville, tellement qu'il n’est pas possible de rentrer dans le palais « Jacques-Coeur ». Nous sommes surpris par la taille de la cathédrale, visite des jardins de l'évêché et de la ville
Encore une belle balade faite de belles rencontres en toute amitié et simplicité. Seule ombre au tableau : avoir dû abandonner Mado et Paul à Reims, mais tout est bien qui finit bien, elle effectuait tranquillement sa convalescence à domicile quand ces lignes ont été écrites.
Le périple aura fait 2 400 kilomètres mais, déjà, nous pensons au prochain voyage en Ariège !
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8ème randonnée d’automne
en Ariège
du 29 août au 13 septembre 2015
Avec 6 équipages : Monique et Jean-Pierre, Catherine, Bernard et Arlette, Daniel et Colette, Maurice et Ghislaine, Dany et Monique, Banjo et Méga.
Notre séjour en Ariège commence au camping Le Rupé à l'entrée de Toulouse. Ce terrain situé près du Canal du Midi est agréable, mais un peu « prison » quand même le piéton doit montrer patte blanche… L’accès se fait par un chemin étroit pour les manœuvres des caravanes et camping-car.
A Blagnac, un après-midi sera bien utilisé par la visite du musée Aéronautique. D’abord l'atelier de fabrication des avions puis le musée Aéroscopia, vaste édifice de 7000 m² où la Caravelle côtoie le Concorde et l’Airbus de luxe avec bureau, chambre et salon.
Toulouse, ville rose. Expédition en bus et métro vers la Place du Capitole, avec bien sûr, visite obligée du monument du même nom. Celui-ci date de 1190 et abrite l’hôtel de ville et le théâtre. C'est dans la cour Henri IV que le duc de Montmorency fut décapité en 1632. Sculptures, blasons, tableaux de maîtres, tentures etc... sont à admirer. Détail à signaler : la visite est gratuite. Le séjour à Toulouse se termine par quelques flâneries dans la ville au gré de notre fantaisie. Après avoir beaucoup marché sous la chaleur, nous pique-niquons au jardin des plantes dans une ambiance Zen, entourés d'arbres magnifiques.
Notre véritable séjour commence à Tarascon sur Ariège au Camping du Pré-Lombard au bord de la rivière. La prairie est ombragée avec piscine et chaises longues pour bronzer après un bon bain vivifiant en admirant la très belle vue sur les montagnes. Il y a aussi un restaurant avec animations, chants et danses et bien sûr un terrain de boules sur lequel champions et novices s'affrontent. Le restaurant nous accueillera et nous régalera dans une chaude ambiance. Quelques soirées sont fraiches et même pluvieuses. Heureusement, il y a l'auvent confortable de la caravane pour nous réunir pour l'apéro dinatoire où nous goûtons des spécialités du pays et passons un chouette moment.
Visite du musée de la préhistoire. Il a été créé en 1994 par le Conseil Général et comprend : ''le grand atelier'' qui contient grandeur nature des répliques du ''Salon noir'' de la grotte de Niaux ainsi que la grande frise de la grotte de Marsoulas. Dans la pénombre du lieu, on a peine à retrouver la sortie du dédale. Ensuite, on découvre un parc de 13 hectares arboré, agrémenté de lacs, cascades et d'ateliers d'animation: taille d'outils en silex, allumage d'un feu par friction avec le fameux champignon, l'amadou et aussi exercices de tirs à la sagaie avec propulseurs où chacun tente l'expérience. Pas si simple d'atteindre la cible !!
Quelques moments plus calmes nous ont permis de visiter Tarascon. Après une marche près de la rivière nous déambulons dans les ruelles où nous rencontrons un artiste peintre. Il nous raconte l'histoire de sa vie de berger et nous montre quelques unes de ses œuvres. Point de vue magnifique sur la ville que l'on surplombe du pied de la Tour Castella. Nous avons profité des petit et grand marchés pour faire quelques provisions et flâner.
Découverte des Forges de Pyrène ( Diguedondène !!) : musée traditionnel avec des vieux outils évoquant plus de 120 métiers. Ensuite dans le même endroit, visite de la forge à martinet hydraulique, sorte de marteau pilon actionné par une chute d'eau manœuvrée à la main. Nous avons assisté à la fabrication d'une pelle de jardin. Cet atelier date du XVIème siècle. Visite très riche, avec des animateurs dignes d'acteurs en particulier le sabotier qui nous a fait un super show.
En revenant des forges, nous sommes descendus par un petit chemin pour admirer le Pont du diable dans un cadre superbe avec le torrent et de gros rochers dans une vallée escarpée. Ce pont, en ruine, date du XIIIème siècle. Il abritait dans ses piles des gens en armes, chargés de percevoir un droit de passage plus ou moins légal selon la petite histoire. Ceux qui aiment la pluie ont été bien servis lors de la visite du Château de Foix sans les parapluies. Montée à pied dans les ruelles de la ville, jusqu'au château construit sur un rocher et dominant la haute vallée de l'Ariège.
Le séjour nous a aussi permis de faire une petite randonnée vers la cascade de Lartigue près d’Auzat à 1250 m d'altitude, marche sur un sentier ombragé, un peu escarpé, bercés par le bruit du torrent, dans les sous-bois. Petite difficulté ça grimpe, ça grimpe, pour arriver, récompensés de nos efforts, sur un petit plateau bouleversé par les éboulis. Vue splendide, où l'on aperçoit la cascade d'un joli bleu. Nous restons un petit moment pour savourer ensemble la beauté du paysage qui amène à la sérénité.
Sur la rivière de Labouiche, on ne craint pas la pluie car … elle est souterraine ! On embarque pour une croisière guidée insolite sur la Venise ariègeoise, à 60 mètres sous terre sur environ 1500 mètres, assis dans des barques de 12 personnes. Une multitude de concrétions et une cascade nous ravissent. Sourires et saluts aux autres touristes quand nos barques en alu s'entrechoquent.
Le séjour prend fin avec une dernière visite à la carrière de Talc de Trimoun près de Luzenac. Cette matinée très pluvieuse semble nous interdire toute visite surtout en altitude et puis, tout à coup pendant le déjeuner, de belles éclaircies laissent entrevoir une possibilité. Départ donc en trombe vers Luzenac et montée en car jusqu'à 1800 m où se trouve cette carrière à ciel ouvert fondée en 1905 et qui produit 400 tonnes de talc par an.
En souvenir nous ramenons précieusement quelques petits morceaux de roche couleur rosée de talc.
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Fin de saison à Port des Barques…
du 25 au 28 septembre 2015
12 équipages étaient présents à cette ultime sortie de l’année pour un total de 26 personnes, certains étant venus rejoindre le groupe seulement pour la dégustation des moules.
La saison estivale touche à sa fin et, nous nous retrouvons comme à l’accoutumée au camping de la Garenne à Port-des-Barques en Charente-Maritime.
Le temps est propice à nos activités, le soleil et la bonne humeur sont présents mais nous savons l’absence de certains fidèles de cette sortie en raison de leurs difficultés de santé et nous avons une pensée pour nos amis chers disparus cette année.
Le samedi, une visite de l’Hermione est organisée au port de Rochefort où nous avons apprécié le récit de quelques gabiers ayant participé au périple en Amérique. En fin d’après-midi nous allons jeter un coup d’œil au pont transbordeur sur la Charente, toujours en activité.
Les jeux de boules sont toujours aussi animés, les balades en bord de mer et les pieds dans l’eau sont appréciées surtout au soleil couchant. Les jeux en salle de ces dames sont plus calmes, quoique …
Dimanche, temps fort du rassemblement, la préparation et la dégustation des moules sous un beau soleil, que nous accompagnons de frites du baraquement voisin. Quel délice et quel moment de convivialité et de partage.
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